Au bureau

Au bureauNe sachant que faire d?une après-midi, je passe un petit coup de téléphone à mon Philou. Je lui fais comprendre que j?ai envie de lui. D?abord réticent, il finit par céder. Il me donne l?adresse de son lieu de travail et avant que de raccrocher me demande de me montrer discrète pour ne pas attirer l?attention en traversant le hall. Je décide donc de m?habiller sobrement. J?enfile une jupe, qui ?arrive aux genoux, et un chemisier, tout ce qu?il y a de plus classique. Mais avant, je revêts la parure de lingerie qu?il vient de m?offrir, ceci en remerciement de mon excellent comportement lors de la séance qui a eu lieu dans la boutique (lire épisode précédent). Un petit peu de parfum et me voilà prête. J?appelle un taxi qui arrive quelques minutes plus tard. Durant tout le trajet, j?ai le sentiment que le chauffeur me scrute de fond en comble. Arrivée, comme je ne pose pas de questions, je ne saurais jamais ce qu?il en était réellement. J?entre dans l?immeuble, adresse un sourire discret aux personnes que je croise tout en me dirigeant vers son bureau.« Tu arrives mal » me dit-il en guise d?accueil, avant que d?ajouter « le boss vient de mettre en place une réunion de travail à laquelle je ne peux échapper. Je dois y aller » et il sort en déposant sur mes joues un baiser. En moi-même, j?espère que cette réunion ne durera pas trop longtemps. Le temps passe très lentement. Au bout d?un moment, j?entends des bruits de pas dans le couloir. Ne sachant de qui il s?agit, je décide de me cacher et je trouve refuge sous le bureau. La porte s?ouvre. Sur le moment, je n?ose me montrer dès fois que ce ne serait pas lui. Ne me voyant pas, il ferme la porte et finit par dire : «c?est moi ». Je fais une apparition. Satisfait, il me dit : « je vois que la chienne que tu es a trouvé sa niche, ça tombe bien, restes-y ». Il s?assoit, mais avant, il dégrafe son pantalon. Sans qu?il ne dise rien de plus, je comprends ce qu?il attend de moi, sa salope. Je déboutonne sa braguette, je baisse son slip libérant de ce fait son sexe en semi-érection. Je le prends en bouche, lui taillant une pipe comme il aime, en gorge profonde. Son gland vient heurter le fond de ma gorge. Je n?en n?oublie pas pour autant de m?occuper de ses couilles que je malaxe entre mes doigts. Mes lèvres purpurines font des allers-retours le long de son dard. Mes dents mordillent ses chairs. Je sens, indubitablement, la sève monter dans sa hampe. Je constate que grâce à mes soins, Philou bande dur maintenant. Il me fait sortir de ma niche et me plaque immédiatement face au bureau. Il remonte ma jupe, la coince dans la ceinture, baisse précipitamment ma culotte qui se retrouve au sol. Je suis cambrée, jambes ouvertes. C?est une des positions qu?il affectionne quand il me baise. Sa queue est à la hauteur de ma chatte. Je lui fais remarquer que la porte n?est pas verrouillée et que quelqu?un peut entrer et nous surprendre. Tenant son pantalon tant bien que mal, il va tourner la clé. Il revient vers moi et se saisit d?un stabylo qu?il pose à l?entrée de mon cul avant que de l?introduire doucement. Je suis déjà tellement mouillée que je l?aspire sans autre forme de procès. Il le retire, couvert de mon jus et le présente à mes lèvres pour que je le nettoie. Se faisant, il ouvre mon sac et en sort le gode sans lequel je ne sors jamais. Il le positionne sur son fauteuil et m?ordonne de m?empaler sur cette bite de latex. Je m?exécute sans rechigner trop heureuse de voir son dard se présenter à l?entrée de ma bouche. Me voici repartie pour une nouvelle pipe. Il est tellement excité qu?il ne lui faut que quelques minutes pour venir et se répandre dans ma bouche. A cet instant, le téléphone sonne. Il décroche comme si de rien n?était et je l?entends dire à son collègue de venir nous rejoindre. « Toi, tu ne bouges pas » s?empresse-t-il d?ajouter en raccrochant. Il se dirige vers la porte et celle-ci redevient ouvrable. Quand son collègue entre, quelle n?est pas sa surprise. Il me découvre assise, jambes ouvertes, un reliquat de sperme à la commissure de mes lèvres. Sans se départir de son habituelle décontraction, Philou lui dit : « Je te présente ma nouvelle amie. C?est une travestie. Elle suce aussi bien que certaines femmes et accepte tout ce que je lui impose ». Un peu interloqué, le collègue en question met quelques instants à réagir. Philou insiste en lui disant : « N?ai pas peur, Delphine ne va pas te manger mais te faire du bien ». Sur ces mots le gars s?enhardit, ouvre son pantalon. Philou en rajoute une couche en lui demandant ce qu?il préfère : « Elle te taille une pipe ou tu lui prends sa chatte ? » Celui ?ci répond : « Puisque tu me présentes la chose de cette manière, je vais me faire un plaisir de l?enculer, ta salope ». Il me fait me lever, retire le gode toujours fiché dans ma chatte, me plaque contre le mur et se plante en moi. Sa queue est plus fine que celle de mon Philou mais elle est plus longue. Il s?enfonce sans coup férir jusqu?a ?à ce que ses couilles heurtent mes globes fessiers. Ses mouvements sont secs et nerveux. Il me pilonne carrément le cul et je me retiens de hurler mon plaisir. Il me laboure longuement avant que de cracher son sperme dans mes entrailles. De fines gouttelettes de sperme s?échappent de mon intérieur et glissent le long de mes bas. Satisfait de lui, il dit à Philou : « On ne va pas la laisser ainsi. Conduisons là aux toilettes qu?elle se refasse une beauté ». Philou trouve l?idée plaisante. Nous sortons du bureau et prenons le couloir. Je suis encadrée par mes deux males dans une tenue très révélatrice de ce que je viens de vivre. Ma jupe est toujours coincée dans la ceinture dévoilant mon postérieur tandis que mon chemisier baille aux corneilles ne dissimulant rien de mes seins. Nous voici arrivés devant la porte des toilettes. Philou l?ouvre et me pousse à l?intérieur. Alignés devant des urinoirs, quatre hommes sont en train de pisser. Je ne vous raconte pas leur tête quand ils me voient entrer. Je tourne la tête vers Philou, inquiète tout à coup de ce qu?il va décider de faire. Il comprend mon interrogation et sa réponse tombe sèchement. « Messieurs, cette catin est à vous. Elle se doit de tout accepter. Faîtes d?elle ce que vous voulez ». « Toi ma chérie » ajoute-t-il en se tournant vers moi, « tu te positionnes à genoux et tu obéis ». Me voici donc à genoux devant ces six hommes, telle une condamnée devant son peloton d?exécution. Tout d?abord décontenancés, les quatre hommes se présentent en cercle autour de moi, me présentant leur bite. Je sors ma langue et commence par récupérer les gouttes de pisse qui y sont demeurées. Puis très vite, ils m?invitent à les sucer. Ne pouvant les prendre simultanément en bouche je vais de l?un à l?autre. Tandis que j?en ai un en bouche, j?en branle deux autres. Le quatrième se tenant en retrait attendant son tour. Alors que je suis déjà bien occupée, la porte s?ouvre et un autre homme fait son entrée. Je vais donc devoir m?occuper de tous ces hommes avant que de pouvoir me refaire une beauté comme prévu à l?origine. Au fur et à mesure que je les éponge de leur trop plein de sperme, les hommes quittent un à un la pièce. Pour mon plus grand plaisir, il n?en viendra pas d?autres. Le dernier arrivé, estime qu?il est de son devoir, de m?aider à me démaquiller un peu plus, de sa propre initiative, me pisse au visage. Autant dire que mon maquillage est désormais complètement détruit. Non seulement, je suis souillée de partout mais en plus, je n?ai plus un poil de sec. Me retrouvant seule avec Philou, il me demande si je suis satisfaite de mon après-midi. Au moment où je m?apprête à lui répondre, la porte s?ouvre à nouveau. Ce coup-ci, il s?agit d?une femme, bien en chair, dans la cinquantaine. Tu lui demandes ce qu?elle vient faire là, puisque ce sont des toilettes hommes. Du tac au tac, elle te répond : « et elle, qu?est ce qu?elle fait là ? ». C?est à ton tour de ne savoir que dire. De toute manière, elle a vu en entrant la flaque de pisse à mes pieds. Elle enchaîne en disant : « Elle ne va pas laisser la marque de son passage, ta chose ». « Bien sûr que non » répond Philou. Elle se tourne vers moi et dit : « Tu as entendu, salope, lèches, nettoies de ta langue et avales tout ». N?osant dire quoi que ce soit, j?obtempère à cet ordre venant de cette femme. Me voici allongée à même le sol en train de passer ma langue pour laper cette pisse. Elle s?adresse alors à Philou et lui dit : « C?est une bonne traînée que tu as là, quand elle en aura fini, elle va me bouffer la chatte. J?ai souvent rêvé de me faire dévore le minou par une pute trav ». Comme j?ai quasiment fini, elle se positionne, mains dans le dos en appui sur les lavabos, remonte sa jupe et me présente sa chatte. Philou m?intime l?ordre de la manger. Une fois encore, je m?exécute, en bonne femelle soumise. Tandis que ma langue part à la découverte de sa grotte, elle s?astique son petit bouton. Très vite, sa moule se retrouve inondée de mouille. Je l?aspire telle une ventouse. Elle finit par jouir. Sa cyprine vient se mêler à tous les jus qui ont défilé dans ma bouche depuis mon arrivée. Le spectacle que je viens de t?offrir t?a redonné de la vigueur, tu me positionnes à quatre pattes devant elle, ma chatte offerte. Il lui vient alors, à cette mégère, l?idée de me fouiller le cul. Elle humidifie ses doigts et les plante dans mon orifice déjà dévasté. Un à un, ses doigts s?insinuent dans mes chairs et c?est bientôt toute sa main qui est fichée en moi. Cette salope me fiste et tu ne dis rien. Mieux, tu l?encourages. Ces cinq doigts me fouillent longuement. J?ai envie de jouir mais une claque me remet à ma place. Je dois me concentrer pour ne pas exploser. Elle retire sa main me laissant ouverte. Tu en profites pour y planter ta bite. Ne voulant rester sur le bord de la route, la dame se positionne sous moi en 69 et entreprend de sucer mon clitoris tout en présentant sa chatte, une nouvelle fois, devant ma bouche. Je constat, avec bonheur, qu?elle sait y faire. S?en est trop, je ne peux me retenir plus longtemps et je lâche un jet de mon jus dans sa bouche, au moment précis où toi, mon Philou, tu exploses dans mon cul. Nous reprenons chacun une position plus classique avant que de quitter ces lieux. Alors que je pense que nous allons regagner ton bureau, elle nous entraîne vers le sien. Qu?a-t?elle encore envie de faire ? N?en n?a-t?elle pas assez ? Il semblerait bien que non car elle te propose de me punir. Je ne comprends plus rien. Elle se tourne vers toi et te dit : « Mon cher ami, il me semble que votre pute a manqué de respects envers moi en giclant en moi sans votre accord, elle mérite donc une petite correction, non ? ». Trop heureux d?avoir fait la connaissance d?une collègue aussi dépravée que toi, tu acceptes sa proposition. Nous entrons donc dans son bureau, elle m?installe à plat ventre sur une table, ouvre un tiroir et en sort une cravache. Elle me demande d?humidifier le cuir pour qu?il soit plus douloureux lors de ma punition. A nouveau, j?obéis. Tu t?installes dans un fauteuil et tu la regardes officier. Les coups pleuvent les uns derrière les autres. Mes fesses commencent par irradier une douce chaleur au creux de mes reins, mais très vite par de la douleur vive et intense. Après m?avoir administré une bonne raclée, et alors que mon cul a prit une couleur violacée, elle me rend à toi, non sans te dire que si à l?occasion, tu avais besoin de quelqu?un pour s?occuper de moi, elle serait là.Quand nous sortons de là, il est déjà bien tard. Les bureaux sont déserts. Mon cul me brûle à chacun de mes pas, sans parler du frottement du tissu de la robe sur ma peau. Dans le hall, c?est un vigile qui a pris la place des hôtesses. La nuit est tombée. Nous nous séparons sur le trottoir. Je rentre chez moi, heureuse et fière de m?être montrée digne de toi, mon Philou, et prête à revenir passer d?autres bons moments sur ton lieu de travaiL.